Sur le tee.. (Libre)

La porte du chalet ouvrit, il était presque vide. Bah, en même temps, c'était pas vraiment surprenant, puisque le ciel était étrangemetn couvert de nuages, toutefois, il n'y avait aucune pluie d'annoncé pour aujourd'hui. Vêtus de ses pentalon noir et d'un polo rouge, Christ ajusta son gant tout en avançant. La caisière se tourna vers les 4 personne assient dans la pièce et leur annonça qu'ils pouvaient aller sur le départ et préparer à leur rythme. La june femme se retourna face a Christ et lui sourit habitué de voir le pro. en effet, le golfuer avait toujorus eu une attirance pour se terrain, au paysage magnifique. Les fairways étaient toujours impécables, tout comme les greens qui ne présentaient pas le moindre défaut.

Bonjour monsieur Saddler, un départ pour vous seul ?

Non, pas pour aujourd'hui, Karine, je vais attendre quelqu'un, la prochaine personne qui arrive seule avoit moi là à la table numéro 4..

Oui, 47 monsieur. Dois-je appeller votre Caddy monsieur ?

Non, merci, je trainerais mon sac.

Très bien monsieur, vous pouvez aller prendre place.

Christ agita poliment la tête avant de ce détourné et d'allé tranquillement rejoindre la table en question. Celle-ci était placé dans un coin de la pièce, un endroit parfait pour avoir une vus sur la télé placé au dessu du foyer dans lequel aucun feu n'était allumé. Karine alluma la télé au poste diffusant un tournois au quel le jeune pro ne s'était pas inscrit. Il s'asseya confortablement dans sa chaise regardant la télé attendant qu'un joueur sans partenaire vienne.

Pour une fois, il daignait sortir de chez lui. Il faisait un beau temps, malgré les nuages, et il n’y avait que peu de vent, rendant le temps idéal pour le golf. Malheureusement pour l’héritier des Kurokami, c’était à cause de ce temps favorable que son père l’avait envoyé au terrain de golf, « histoire de ne pas pourrir à 16 ans devant son ordinateur » et « parce qu’il était encore jeune et qu’il devait socialiser, même si c’était seulement pour une heure ou deux. » Par contre, son amour pour les jeux en tout genre avait quand même convaincu Shinji d’aller faire une partie. Ce serait la première qu’il aurait fait depuis des années, la dernière fois remontant à son 10e anniversaire. Arrivé sur les lieux, il s’assura qu’il avait bien tous ses bâtons avant d’entrer dans la cabane.

-Huh. Ça fait un bail que j’ai mit les pieds ici. Je me demande si l’ancien patron de l’endroit y est toujours… Bah! Sinon, tant pis. Je ferais mieux de commencer maintenant ou mon père va piquer une crise…

Il entra dans le chalet et vit qu’il était seul, mis à part un autre homme et la caissière de l’établissement. Il s’approcha du comptoir avec un air légèrement blasé et s’adressa à la femme.

-Hum, bonjour mademoiselle, j’aimerais savoir si vous avez un caddy disponible? Ça fait un moment que je n’ai pas fréquenté l’endroit, alors…

Celle-ci sourit un peu devant son malaise, mais elle fit venir un jeune homme aux cheveux bruns court, d’environ 20 ans.

-Bonjour, je m’appelle Michael, je serai votre caddy pour cette session.

Shinji hocha la tête pour acquiescer sa présence et lui donna son sac de golf. La jeune femme s’adressa de nouveau à lui.

-Vous pouvez payé une fois la partie terminé, mais comptez-vous jouer seul? Cet homme là-bas cherche quelqu’un avec qui jouer.

Un autre bref regard, un autre hochement de tête.

-D’accord.

Il se dirigea vers la table numéro 47, son caddy derrière lui. L’autre ne semblait pas très âgé non plus, mais cela n’avait aucun impact sur la qualité du jeu, il le savait par expérience : il était l’un des meilleur dans cet univers-là. Perdant pour une fois un peu de son regard ennuyé, il se présenta à l’homme.

-Bonjour, je suis Kurokami Shinji, fils du PDG de Kurokami et Cie. Ravi de faire votre connaissance, monsieur… ?

Les yeux du golfeur firent le tour du nouveau venus en face de lui, Christ resta assis un instant un air extrêment sérieux sur le visage. Ceci semblat légèrement destabilisé le Shinji. Christ se levat avant de gentiment sourire.

Saddler, Christ Saddler, professionel de golf et aussi propriétaire de ce terrain, le plaisir est pour moi monsieur Kurokami.

Christ contourna la table et se dirigea vers la pièce où était rangé l'ensembles des sacs de golf, il resortit avec le sien sur l'épaule, qu'il déposat sur sa droite avant de prendre une carte de point.

Deux cartes de points s'il vous plait Karine.

Voilà monsieur

Il enfonça sa carte de point dans le creux de sa poche droite, avant d'avancer jusqu'à sa table où il en donnat une à son bientot partenaire. Puis se laissa retomber dans sa chaise de prédilection. Cela faisait une éternité qu'il n'avait pas jouer avec un non professionel, mais il n'avait pas l'intention de se retenir pour autant. Évidemment, il profiterais quand même de la partie, après tout il s'agissait de son sport préféré, sinon il n'aurait jamais atteind un tel niveau. Il fermat les yeux l'espace de quelques secondes revisualisant le premier trou. Il s'agissait d'un par 4 d'environ 430 verges dont chaque coté était couvert par de massives trapes de sables. Celui-ci tournait légèrement sur la gauche a 120 verges forçant le joueur à soit faire du Hook, ou encore prendre un baton assez bas pour se placé au commencement du tournant. L'arrière du green était quant à lui protégé par un magnifique Lac à l'eau clair, le back spin, pour ceux capable de le faire était l'option à choisir.

Monsieur Saddler et Monsieur Kurokami, vous pouvez prendre directions vers le tee du premier trou lorsque vous serrez près.

Alors, monsieur Kurokami, vous êtes un habitu. du terrain ?

-Saddler, Christ Saddler, professionnel de golf et aussi propriétaire de ce terrain, le plaisir est pour moi monsieur Kurokami.

Sa présentation porta l’adolescent à se poser la question qui l’avait habitée depuis son arrivé sur les lieu : cet homme possédait-il l’endroit, il y a plusieurs années de cela? Il se souvenait d’un garçon assez jeune et doué... Un autre détail le tracassait un peu, s’il jouait contre un professionnel, cela voulait dire qu’il allait devoir se donner au maximum pour ne pas passer pour un abruti. Il en connaissait beaucoup sur la théorie au golf, mais il n’avait jamais joué qu’une ou deux fois. Bien sûr, il avait été assez doué pour son âge, mais c’était il y a bien longtemps. Se concentrant de nouveau sur l’instant présent, il prit l’une des cartes de point et la mit de même que monsieur Saddler dans sa poche droite.

-Monsieur Saddler et Monsieur Kurokami, vous pouvez prendre directions vers le tee du premier trou lorsque vous serrez près.

Il hocha la tête en signe d’approbation. Il était prêt, même s’il était un peu incertain de l’évolution de son talent au golf pendant ces six ans d’inactivité. Oh, il pratiquait bien quelques sports, mais jamais de manière fréquente. Son futur adversaire s’adressa à lui, posant une question qui lui fit sentir comme un frisson de compétition.

-Alors, monsieur Kurokami, vous êtes un habitué du terrain ?

Il le fixa directement dans les yeux, sa nature compétitrice entrant en action.

-Non, mais je crois que j’équivaut bien certains professionnels.